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Statut
Très répandu, cet oiseau nicheur sédentaire est contacté dans la quasi totalité des communes (l'absence à Troo et Le Poislay ne relevant que d'un défaut de la prospection), dans de nombreux milieux plus ou moins boisés, situation artificielle tributaire de sa gestion cynégétique avec par exemple 25 individus/100 ha en 1989 en forêt de Fréteval [1]. Lors de l'Atlas 2009-2012, la population Vendômoise est estimée à plusieurs centaines de couples et en 2019 la plus grande partie du territoire affiche une densité moyenne d'un coq/10 ha d'après les inventaires de la FDC 41.
Évolution
Introduit de longue date, il est signalé commun dans tous les écrits anciens malgré l’importance du braconnage auquel il résiste moins bien que les perdrix dans le Perche [2].
La comparaison entre les Atlas de 1985-1989 et 2009-2012 souligne une distribution identique.
[1] Perthuis, 1992 ; [2] Reboussin, 1935.