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Statut
Estivante nicheuse peu répandue/33 communes, présente d’avril à août (limites : 18 mars/10 septembre), de passage régulier, sur toute la vallée du Loir principalement (seulement 8 communes hors val) où c'est une nicheuse assez régulière localisée avec sur la période 8 communes apportant des preuves de nidification dans des carrières d'extraction de granulats (dernière année citée) : Brévainville (1995), Montoire-sur-le-Loir (2019), Naveil (2019), Saint-Firmin-des-Prés (1994), Saint-Jean-Froidmentel (2018), Tréhet (1983), Villavard (2015), Villiers-sur-Loir (1988) et tentative à Pezou (1985). Suite à l'aménagement d'îlots seuls deux sites l’un à Naveil depuis 2009 avec un maximum de 15 couples en 2017 et l’autre à Saint-Jean-Froidmentel de 2011 à 2018 avec un maximum de 20 couples en 2016 sont régulièrement occupés et en 2019 un couple a niché à Montoire-sur-le-Loir.
Évolution
Uniquement de passage naguère en particulier sur l’étang de Boisvinet/Couëtron-au-Perche et Le Plessis-Dorin ou celui d’Épuisay [1, 2]. Dans l'Eure-et-Loir, en haute vallée du Loir, l'espèce niche régulièrement sur aménagement artificiel dans les carrières d'Alluyes/Saumeray (28) avec 1 à 8 couples entre 1985 et 1999 [3]. En Sarthe, l'installation de nicheurs reste précaire à La Ferté-Bernard (72), l'essentiel des effectifs étant cantonnés en val de Loir dans quelques localités peu éloignées de nos limites [4]. Partout la pérennité des colonies reste tributaire d'aménagements adaptés.
La tendance nationale se montre stable depuis 2001/Vigie Nature-STOC.
[1] Etoc, 1907 ; [2] Reboussin, 1935 ; [3] Doublet, 2010 ; [4] GSO, 2013-2015.