Hirondelle de rivage Riparia riparia (Linnaeus, 1758)

Hirondelle de rivage Riparia riparia (Linnaeus, 1758)


territoire maillé

territoire maillé

territoire maillé
AC Espèce assez commune (basé sur maillage 5 km)

Lien(s) :

lepinet Natureocentre

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Statuts
  • Espèce protégée
  • znieff
  • Europe LC
  • France DD
  • France LC
  • Region LC
Phénologie (période d'activité)
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Carte de répartition
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Répartition communale - Hirondelle de rivage dans le Loir-et-Cher Données saisies au 27/04/2024


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Choix de la carte


Légende


Observation en 2024
Dernière observation après 2020
Dernière observation entre 2010 et 2020
Dernière observation entre 2000 et 2009
Dernière observation entre 1990 et 1999
Dernière observation avant 1990

Cartographie - Hirondelle de rivage (uniquement pour les observations à diffusion précise)


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Statut nicheur


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Légende


Nombre de maille

Certain :
Probable :
Possible :


Statuts - Hirondelle de rivage


Hirondelle de rivage - Nombre d'observations par décade Données saisies au 27/04/2024 (Observé vivant)


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Liste des observateurs

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Informations diverses


Etat biologique

Type de contact

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Prospection

Photos de Hirondelle de rivage


Statut et évolution de l'espèce dans le Vendômois (1980 - 2019)

Statut
Peu répandue/32 communes. Migratrice elle est visible ici entre la fin mars et la mi-septembre (limites : 18 février/7 octobre). De passage régulier en petit nombre (groupes inférieurs à 100 oiseaux, souvent quelques dizaines d'oiseaux) sur les plans d'eau de la région. C'est une estivante nicheuse coloniale localisée sur un petit nombre de sites (15 communes concernées sur la période étudiée) dans les talus verticaux des carrières d'extraction de granulats en activité de la vallée du Loir, plus exceptionnellement dans les berges de la rivière, ou celles des sablières autour de Sargé-sur-Braye. L’Inventaire communal de 1997-2002 la situait sur 24 % du territoire dont 27 % avec reproduction. Lors de l'Atlas 2009-2012, la population locale est estimée entre 50 et 200 couples. Les colonies regroupent généralement quelques dizaines de terriers et au maximum approchent la centaine.

Évolution
Qualifiée de nidifiant en colonies nombreuses spécialement dans les sablières autrefois mais aussi dans les berges abruptes des rivières et comme étant la dernière hirondelle à rejoindre le Vendômois [1, 2] tandis que de nos jours c'est souvent la première! Depuis un demi-siècle, l'espèce bénéficie du développement des carrières d'exploitation des matériaux alluvionnaires échelonnées dans la vallée du Loir. Actuellement peu de colonies sont pérennes sur de longues périodes, l'installation variant au gré des milieux favorables disponibles. Le taux d'occupation des mailles entre les Atlas de 1985-1989 et 2009-2012 progresse de 38 à 53% ce qui relève de la variabilité des installations évoquée. Dans la décennie 80, 13 sites différents de nidification ont été identifiés dont 11 en val de Loir [3]. Des couples plus ou moins isolés peuvent sans doute échapper aux investigations. Le même type d’occupation s’observe dans la vallée du Loir amont et aval [4, 5].
En France, après une augmentation modérée au début du XXIe siècle, cette Hirondelle semble stable depuis 10 ans/Vigie Nature-STOC.

[1] Etoc, 1907 ; [2] Reboussin, 1935 ; [3] Perthuis, 1992 ; [4] Doublet, 2010 ; [5] GSO, 2013-2015.

Taxonomie - Riparia riparia [3688]


Espèces associées